Votre enfant a des troubles anxieux. Il souffre de phobies. Votre enfant a peur de l’école (phobie scolaire). Il a des troubles obsessionnels compulsifs (TOC)…
Votre enfant ne dort pas bien, il fait des cauchemars, il a des terreurs nocturnes. Il fait encore pipi au lit (énurésie)…
Il vit mal les séparations, il ne supporte pas l’éloignement.
Il n’a pas confiance en lui.
Ces troubles anxieux empêchent votre enfant de s’épanouir. Il manque de sécurité intérieure.
Votre enfant est d’une timidité excessive et s’isole, il n’a pas d’amis car il n’arrive pas à entrer en relation avec les autres, parfois par peur d’être rejeté.
Il est intimidé à l’école, harcelé… Votre enfant doit apprendre à se protéger des agressions extérieures.
Il a des troubles du comportement alimentaire : boulimie, anorexie…
Votre enfant a vécu un traumatisme. Il a souffert de maltraitances psychologiques ou physiques. Il a été témoin de violences psychologiques ou physiques. Il a été victime d’un accident. Il a vécu un bouleversement au sein de sa structure familiale (deuil d’un parent proche, divorce…).
Votre enfant a des troubles anxieux. Il souffre de phobies. Il a peur de l’école (phobie scolaire). Il a des troubles obsessionnels compulsifs (TOC)… Il ne dort pas bien, il fait des cauchemars, il a des terreurs nocturnes. Il fait encore pipi au lit (énurésie)… Il vit mal les séparations, il ne supporte pas l’éloignement. Il n’a pas confiance en lui.
Ces troubles anxieux empêchent votre enfant de s’épanouir. Il manque de sécurité intérieure. Votre enfant est d’une timidité excessive et s’isole, il n’a pas d’amis car il n’arrive pas à entrer en relation avec les autres, parfois par peur d’être rejeté. Il est intimidé à l’école, harcelé… Votre enfant doit apprendre à se protéger des agressions extérieures. Il a des troubles du comportement alimentaire : boulimie, anorexie… Votre enfant a vécu un traumatisme. Il a souffert de maltraitances psychologiques ou physiques. Votre enfant a été témoin de violences psychologiques ou physiques. Il a été victime d’un accident. Il a vécu un bouleversement au sein de sa structure familiale (deuil d’un parent proche, divorce…).
Comment puis-je aider votre enfant ?
Agir !!! Surtout ne pas attendre que « cela passe tout seul » !
Ces enfants sont en souffrance. Il faut savoir les écouter, les rassurer, les aider à se libérer de leurs peurs pour qu’ils puissent s’épanouir.
Dans
le cadre d’une prise en charge d’un traumatisme, il est conseillé de
consulter rapidement après l’événement. Quoi qu’il en soit, il est
possible d’intervenir à distance, des années plus tard, et d’aider tout
de même efficacement l’enfant.
En quoi l’intégration des réflexes primitifs peut-elle aider votre enfant ?
Les méthodes d’intégration des réflexes primitifs ne permettent pas uniquement de stimuler le développement sensori-moteur de votre enfant. Elles développent également ses habiletés cognitives et améliorent sa stabilité émotionnelle.
Même si votre enfant semble avoir eu un bon développement psycho-moteur, il est possible que certains événements aient pu affecter l’intégration des réflexes primitifs ou bien réactiver des réflexes qui s’étaient intégrés correctement pendant la petite enfance.
Votre enfant peut alors présenter des troubles que l’on peut mettre en lien avec certains réflexes non intégrés.
En voici deux exemples :
- Lorsqu’il est toujours actif, le réflexe de Moro peut induire un manque de confiance en soi, une anxiété excessive…
- Lorsque le réflexe parachute qui est indispensable pour se protéger et amortir une chute n’est pas développé ou n’est pas intégré correctement, l’enfant a des difficultés à poser des limites, à se faire respecter des autres et peut être victime d’intimidation.